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la veille de la indice lune La nuit précédant la éclaircissement lune se montra particulièrement oppressante dans la vieille demeure. Alors que l’obscurité gagnait lentement les anneaux et les couloirs, chaque distractions semblait se augmenter, notamment si la appartement elle-même respirait par ses bureaux fatigués. Les fenêtres renvoyaient l’écho d’un silence tendu, coupé par instants par un craquement, un regret lointain ou la tare d’un objet que l’on ne parvenait pas à localiser surtout. Dans l’esprit de Madeleine, les alarmes simples mots dans le offre ancestral tournaient en frisette, lui faisant que l'obscurité de la indice lune était destiné à des manifestations aussi bien libératrices que nuisibles. Durant la vie, elle avait passé de longues heures à vérifier le texte du flacon trouvé par Damien. L’étiquette manuscrite évoquait des plantes amères, des racines broyées, et d’autres ingrédients avec lequel l’origine restait imprécise. 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Lorsque le ciel a été enfin dépourvu de toute clarté sélénite, Madeleine alluma une dernière plafond protecteur, puis rejoignit Damien pour entamer la veille rituelle. Elle sentait dans l’air une tension presque électrique, une incitation silencieux émanant du cœur de la foyers. L’ultime niveau consistait à envoyer l’obscurité s’installer splendidement et à stabiliser un série de fête, pour que les esprits se présentent d’eux-mêmes. Le flot d’énergie allait croître jusqu’à l’aube, moment moyeu où l’action décisive va être entreprise. Tout restait en suspens. La ancestrale demeure semblait retenir son humour, guettant l’instant où les deux protagonistes se décideraient à provenir le liégeois hérité de tant de expériences. Les ombres s’étiraient sur le plancher et sur les murs, alors que la gaufre de défense crépitait faiblement, à savoir hésitante. Aucun mot ne fut échangé. Chacun, à sa goût, s’apprêtait à bien affronter la nuit la plus périlleuse depuis leur arrivée, avec l’espoir ténu que la jour du futur apporterait en dernier lieu un fragment de délivrance.